Catégories : Rencontres FESSEE, éducation anglaise canne fouet Femme et Homme
il y a 9 ans
PAR UN AMATEUR ANGLAIS
'La badine' ne va pas, ni 'la canne'. Je vais l'appeler le 'cane', parce qu'il n'existe pas le mot équivalent en français. Il n'existe nul part l'équivalent de son rituel de pratique, non plus. Sauf qu'en Angleterre ou, dans les coins secrets et pervers, les habitants d'Albion se punissent pour leur perfidie ou n'importe quel autre embrouillement de leurs psychologies. L'éducation anglaise appartient aux anglais comme leur 'breakfast', leurs tasses de thé, leur hypocrisie fabuleuse. (Moi, qui suis anglais, je peux le dire.) Ses racines pénètrent dans les profondeurs du caractère de la nation, des individus et de la société.
Ce qui est très intéressant pour les amateurs de BDSM en France (et en n'importe quel pays Européen) est que l'éducation anglaise propose une système déjà fait, déjà sophistiquée qui apporte également les nuances et les extrêmes de plaisir et douleur dans un cadre qui permet de les contrôler et encourager par son rituel. Presque toutes punitions entraînent quelque chose de formalité, de cérémonie; mais les anglais en faisaient un fétichisme.
Elle a de bonnes raisons pour s’inquiéter: le ‘birch’ est un des moyens de punition le plus feroce
SIECLES DE CRUAUTE
Déjà trois fois le mot 'rituel'. C'est souvent une base de la vie sociale, mais dans cette petite île avec sa reine, son cricket et son fair-play, c'est quelque chose de très ancien qui moule la société, même aujourd'hui . Vous en doutez ? Imaginez une société ou les autorités proposaient le 'breakfast'
traditionnel - lard, oeufs, champignons, tomates, toast et tout - à un meurtrier qui va être pendu dans une demi-heure et son corps détruit par la chaux vive. (Avant la fin de la peine capitale on notait presque toujours dans les journaux que 'le condamné a mangé son breakfast avec un gros appétit': donc un être humain était mort, mais tout allait bien quand même.)
Je ne parle pas des punitions barbares des temps passés (ou des autres pays que les nôtres aujourd'hui) qui font frémir les amateurs de BDSM d'aujourd'hui les plus dévoués. Le sort des soldats et matelots était souvent particulièrement atroce, mais dans tous pays il a toujours existé les punitions de tous les jours, d'un esclave ou serveur inefficace, une femme adultère, les criminels ou pécheurs plus ou moins importants et - surtout - un enfant ou un jeune. Jusqu'à nos jours elles étaient presque toujours des punitions corporelles.
Comme toutes autres nations, les anglais ont utilisé presque n'importe quoi pour frapper à-peu-près n'importe qui. Mais pendant plusieurs siècles l'instrument de châtiment ordinaire était 'the birch', une poignée des tiges en bouleau (ou arbre équivalent). Fines et légères pour les petits, ils pouvaient atteindre plus d'un mètre pour les jeunes ou les adultes. 'The birch' juridique utilisé dans les prisons britanniques jusqu'a 1948 avait un mètre de long et pesait entre 255g (pour les garçons) et 340g (pour les adultes), un poids important avec des punitions magistrales, entre 4 et 24 coups environ donnés à pleine puissance.
Dans les prisons du dix-neuvième siècle où on donnait reguliérement deux cents coups et en plus, un tel instrument a réussi à tuer pas mal d'hommes. On s'étonne de savoir qu'un instrument pareil était le compagnon menaçant de chaque leçon dans les écoles pour les garçons de bonne famille (également que pour les pauvres dans les réformatoires). Naturellement, le 'birch' de l'école était souvent moins sévère, mais pas toujours: le 'birch' traditionnel de Eton College était le plus long de tous, à 132 cm.
Ici commence notre rituel - avec un garçon nu ou moitié nu qui était penché sur un chevalet ou levé sur le dos d'un autre et qui recevait en public les coups qui le feraient saigner bientôt. Même les maîtres gentils acceptaient la nécessité de corriger leurs élèves de cette manière: plusieurs étaient fameuse pour une sadisme surprenant. Ils sortaient de l'eau salé deux ou trois fois un 'birch' neuf pour attaquer les fesses et les cuisses de la victime avec quelque chose de neuf.
Aussi tard que 1959, Sir Winston Churchill se rappelait de son école dans ses mémoires, ou presque chaque semaine un garçon hurlait et 'saignait librement' devant les autres. A la même fois, les garçons plus âgés étaient souvent permis de châtier les plus petits et pouvaient être quelquefois aussi durs que leurs maîtres. On créa donc un système de punition tellement répandu qu'il se renforça continuellement.
Vu que dans nos jours le plupart des gens arrivent d'être adultes sans aucune punition on se demande à quoi servait toute cette brutalité. Peu, probablement: mais une fois établie, cette réflexe d'une société plus primitive que la nôtre, devenait une habitude difficile à changer dans l'état de guerre qui existait assez souvent entre professeurs et élèves.
Pour quelques individus la brutalité n'était pas sans son côté sexuel. Vers la fin du dix-huitième les parents des élèves de 'Christ's Hospital' étaient perturbés de connaître que Sir Eyre Coote, aristocrate respectable, rendait visite régulièrement à cette école prestigieuse pour frapper leurs progénitures fesses nues et de les payait pour être bien frappé lui-même en échange.
UN INSTRUMENT PRECIS
En comparaison le 'cane' qui remplaçait progressivement le 'birch' dans les écoles d'Angleterre pendant la dix-neuvième était un exemplaire de la civilisation. Le mot existait déjà depuis longtemps: mais l'instrument que nous connaissons aujourd'hui ne pourrait pas exister avant l'arrivée en Europe des plantes telles que le bambou, qui nous fournit nos exemplaires du 'cane' les moins raffinées. Un vrai est fabriqué d'une variété de rotin qui est plutôt une liane - et quelquefois les moins solides sont tellement souples qu'on peut facilement les courber en deux.
Je me rappelle qu'en achetant ma première 'cane, je m'inquiétais de savoir comment la porter dans la rue. Sans raison - le vendeur la plia dans un cercle pas plus grand qu'une assiette. (Un peu plus tard j'ai bien découvert comment elle pouvait aussi se plier autour de mes fesses.)
Le 'cane' est capable d'être beaucoup plus précis que le 'birch', donc plus subtile. Plutôt que frapper n'importe ou, les nouveaux maîtres du 'cane' concentraient leurs coups souvent, sur une partie, le centre des fesses. (Moi-même, j'ai connu (comme adulte) trois cents de bons placés sur une ligne de pas plus de 5 cm de largeur pour augmenter la douleur.)
L'âge de Victoria était plus chrétien, plus sobre, plus hypocrite. Quoique Dickens raconte la fureur avec le 'cane' du Mr. Squeers, le tyran de Dotheboys Hall, la tendance était moins vers les grandes punitions en publique, et plutôt vers quelque chose de plus intime - le maître qui corrigeait son élève dans son bureau. Désormais, si le maître était sadique, c'était plutôt à huis clos et il n'y avait que lui qui voyait se tordre les fesses. Quelques-uns des flagellateurs enthousiastes connaissaient mieux les dos de leurs élèves que leurs visages. Un tel garçon rencontrait son ancien professeur, Dr Keate de l'école d'Eton. Quand il voyageait en Europe et s'étonnait que le vieux qui l'avait fouetté mainte fois ne le reconnaissait pas du tout. En s'excusant, Dr Keate lui répondait qu'il le regrettait, mais il distinguait mal les garçons par leurs visages. Avec l'établissement des écoles pour les jeunes filles comme pour les garçons avec les mêmes façons de punir, on pourrait dire pareil pour les fesses féminines.
UN RITUEL S'ADAPTE
Le dramaturge irlandais George Bernard Show disait: 'Si on va frapper un e n f a n t, il faut toujours le frapper en colère, ou il ne vous pardonnera jamais'.
L'essentiel du système classique anglais du dix-neuvième siècle était le contraire - que les coups fussent livrés au sang froid. La victime se trouvait devant toute la puissance de sa société, qui le punissait avec une hauteur judiciaire. Pas question de pitié: une force irrésistible allait lui accorder ce qu'il avait mérité.
Les punitions sur les fesses n'étaient pas trop souvent sur place: plutôt, on demandait au malfaiteur d'étendre le bras pour recevoir quatre ou six coups du 'cane' sur la paume. Pour les punitions plus importantes, on donnait à la victime plusieurs heures d'anticipation avant son rendez-vous dans le bureau du directeur - qui était sûr de le faire attendre en plus dans le couloir, ou le garçon tendait l'oreille dans l'attente de l'appel de l'intérieur en blaguant avec ses amis passants avec une bravade décroissante. L'attente dehors, l'entrée dans le bureau dans un silence sévère, la discussion du péché avec les réponses du garçon en petit voix étaient tous pour lui enlever sa confiance avant le moment quand le directeur se levait pour chercher 'the cane', choisi selon ses préférences et son habitude de frapper - mais toujours lourd si le garçon allait garder ses pantalons.
Avec une politesse formelle, la victime était invitée de se préparer et de se pencher sur le bureau. Encore l'anticipation quand le directeur faisait siffler 'the cane' dans l'air deux ou trois fois, puis le premier coup, précis et assez fort pour bien marquer les fesses pendant quinze jours. Une punition normale était six coups, une sévère une douzaine, avec une pause mésurée et solenelle entre chacun. Le cérémonial exigeait que la victime souffrait en silence, mais même si le garçon était capable de s'empêcher de crier, le punisseur écoutait les fortes inspirations involontaires et savait qu'il infligeait une douleur atroce. Quand il permettait à la victime de se lever, il voyait souvent les larmes aux yeux. Obligé de remercier son tourmenteur et de lui serrer la main, le garçon savait que tout était expié. Beaucoup de garçons préféraient les douleurs sévères mais de courte durée aux punitions non corporelles qui traînaient.
FILLES DE DOULEUR
Naturellement, on peut s'intéresser dans le sm sans avoir été frappé étant e n f a n t : mais l'existence d'une culture de la punition corporelle ne le rend pas moins probable. Encouragés par la mi-nudité, les attentes presque sensuels et le frottement des organes génitaux jeunes et sensibles contre le bureau, les générations des garçons anglais se fascinaient par les punitions corporelles. Ceux qui ont éventuellement voulu réaliser leur masochisme trouvaient les dominatrices à volonté. Ces filles de douleur profitaient bien du 'vice anglais' dans une nation convaincue que plus l'éducation était dure, plus la fibre morale était forte.
Plusieurs de ces femmes étaient fameuses, comme la célèbre Teresa Berkley, créatrice du 'chevalet Berkley' (on dit, après un modèle français). En liant le principe du fouet au principe du canapé, ce chevalet permettait aux clients aristocrates de souffrir confortablement, les fesses bien tendues et à la bonne hauteur. Les organes génitaux accessibles par les trous bien placés, les poignées et les chevilles liées en bas sans possibilité de se libérer. Depuis, un meuble pareil est indispensable chez toutes les vraies dominatrices qui pratiquent l'éducation anglaise. La croix s'utilise relativement peu, puisque - comme une fille de Birmingham m'a dit entre coups - un maso tient mieux penché que debout. (Sans chevalet, on peut mettre l'esclave à quatre pattes ou à l'horizontale sur un lit.)
De ces telles professionnelles venait le raffinement de la tradition de l'éducation anglaise et ses liens avec la sensualité et la sexualité. C'est souvent les femmes qui gardent les essentiels d'une culture, quoique peu rarement les prostituées. Mais ces filles devenaient les transmetteurs de la tradition. Elles étaient les premières à mettre la main féminine sur ce qui avait été presque toujours un rituel masculin. Et aujourd'hui - quand on ne frappe plus les enfants - elles sont les points de repère importants. Très peu des amateurs peuvent acquérir une telle expérience avec une telle variété des gens qu'une professionnelle douée et dévouée à son art.
Mieux qu’elle soit plus haut et bien attachée. Pour une ou deux douzaines elle peut résister: mais pour cinq cents coups elle bougeras les fesses n’importe ou, et les coups vont la blesser partout
LE ROTIN ET LE BAMBOU
Aussi récemment que les années soixante-dix, il existait en Angleterre des entreprises qui vivaient encore par la fabrication des 'canes' pour punir les enfants à l'école et aussi à la maison et qui faisaient un travail traditionnel et professionnel. Aujourd'hui la dernière génération qui a connu le 'cane' à l'école se vieillit. (Quelques-uns probablement s'habillent encore en tenue de l'école pour être frappé comme autrefois.) Dans nos jours c'est les adultes qui souffrent et achètent dans les sex-shops, et un artisanat de qualité comme AE Services, qui fabrique pratiquement tout à la main, est rare. Sa clientèle est mondiale - il réussit même à exporter les martinets en France - mais concentrée sur l'Allemagne et Grande Bretagne. Avec déjà une adresse email (joti@mcmail.com), il est en train de créer son site internet pour le début de l'année.
John Dean, l'artisan-propriétaire, est sellier par métier et trouve que le marché général manque de qualité, même si c'est énormément répandu. Il dit: "Riches, chômeurs, banquiers, la jeune femme à la caisse du supermarché - beaucoup des gens ont un 'cane' dans leur garde-robe." (Dommage. Mieux de le garder au frais, au sec et suspendu (parce que mis sur le bout il risque de se courber); et lui donner un coup d'huile de lin de temps en temps.)
John rejette totalement le 'cane' de bambou. Selon lui, ou pour donner ou recevoir, la seule chose satisfaisante est le rotin - spongieux à l'intérieur et flexible selon l'épaisseur du peau extérieur. Avec sa vide centrale et sa rigidité, le bambou risque de se fendre en tranchants aigus; et la solution - de lier le bout avec le ruban PVC - n'est pas élégante. Et le pire d'acheter le bambou est que vous alliez payer le prix de rotin pour du matériel qui vaut presque rien.
Comment choisir le 'cane'? La gamme de AE Services en comprends une douzaine - d'un léger (diamètre 6mm et 70 cm de long) au 'rota' magistrale de Singapore (12mm et 122 cm) qui s'utilise à deux mains, en courant (même aujourd'hui). Selon John Dean, le 'rota' et le 'reformatory' (92 cm, 12mm et plus) partent chez les homosexuels SM chez qui les punitions sont les plus sévères. Si vous avez besoin d'un 'cane' très lourd, vous le connaissez déjà: mais la plupart des gens se contenteront avec un moyen ou léger - qui sera capable de cingler. Un 'school cane' ordinaire ('Senior' 92 cm, 10mm ou 'Junior' 76cm, 8mm) et un léger très flexible (76cm, 6mm) vous donneront tout ce qu'il faut pour à peu près 200fr, livré discrètement.
John Dean est très optimiste pour l'avenir du 'cane' et toute la gamme des instruments de punition dont lesquels il s'est spécialisé. Malgré la disparition du 'cane' des écoles d'Angleterre, beaucoup de ses clients sont jeunes. Et souvent hors du commun.
"J'ai rencontré pas mal des gens sm. Ils sont presque toujours les gens intelligents, de l'esprit vif, avec même les chômeurs intéressants. Ils sont rarement macho - leur caractère est plutôt doux."
ET MAJOR THOMPSON?
Ou dominatrice professionnelle ou amateur, les gens qui pratiquent l'éducation anglaise par plaisir ou désir ont besoin d'être plus subtiles et imaginatifs que quelqu'un qui puni simplement pour punir. La séance doit durer - et presque toujours sans trop abîmer - malgré que l'instrument de punition est bien capable de détruire les fesses et l'esclave tous les deux. Donc subtilité, savoir-faire, sensibilité, patience sont les essentiels des maîtres et maîtresses - qui devrait connaître eux-mêmes la douleur dont le 'cane' est capable.
Major Thompson, notre idéal des éducateurs anglais, est beaucoup plus sérieux que beaucoup de ses compatriotes qui font plusieurs petits coups avant de faire l'amour. (Pour eux, il suffit de savoir que beaucoup de coups très léger et rapide avec un 'cane' court (plus facile à gérer) rougit bien les fesses sans marquer.)
Pour le Major, le 'cane' est tellement séduisant, même obsédant, qu'il se passionne de réaliser son potentiel. Puisque le 'cane' est forcément sévère, ça veut dire qu'il fait du mal et des marques - et qu'il prend sur lui la responsabilité de bien gérer la séance même plus pour le bien de sa copine que pour lui-même. Fils d'une société coopérative (par contraste avec la société plutôt adversaire de la France), il constate qu'un maître a toujours besoin de la fermeté et de l'imagination, mais jamais de l'arrogance, de l'égoïsme ou de se faire des illusions. S'il manque de confiance de temps en temps, il ne le montre jamais, ni un manque de décision: ce qu'il a promis, il fait au bout, toujours.
Quand Major Thompson frappe sa copine, ils sont bien placés, tous les deux, pour aider la précision de ses coups. Elle s'est penché avec les fesses (bien tendues) à la même hauteur que la main qui tient le 'cane'. Il n'est pas derrière elle, mais à côté, afin que chaque coup descend également sur les deux fesses et pas sur les côtés. Quand il étend son bras, le bout du 'cane' tombe naturellement sur les fesses, pas plus loin. Sa cible est la chair entre l'os pelvien et le commencement des cuisses. Quoique, il se permet d'attaquer les cuisses supérieures quand il veut être méchant, le bon Major trouve que c'est mauvais ton de frapper autre part pour plusieurs raisons. C'est trop facile d'attaquer les parties super sensibles, ça marque beaucoup et, en faisant trop de mal, ça diminue la durée de la séance. En plus, avec le passage du temps sa méthode fait plus résistantes les fesses de sa copine - qui lui permet de les frapper plus fort et plus longtemps. Il considère aussi que la répétition est très importante pour créer les habitudes dans sa copine.
Major Thompson comprend qu'il est en train de conditionner un être humain. Elle le veut (de nos jours frapper les gens non consentants n'est ni morale, ni possible), mais elle finira en allant beaucoup plus loin qu'elle ne pense. Le Major a cherché à prendre le mieux de la tradition des punitions corporelles et de l'adapter à une relation autoritaire mais plus tendre. L'anticipation et la peur sont encore la : la punition est prévue en avance et il l'a déjà fait se déshabiller trois fois dans la journée et aller nue chercher les 'canes' qui pendent toujours en face de leur lit. Quand il fait ça, elle ne sait jamais s'il est sérieux ou si elle sera commandée simplement de les remplacer. Il a un tel tas d'astuces pour la déstabiliser. Comme il dit: "Ça ne fait rien qu'une règle soit ridicule. Si elle est désobéissante, les coups rendront tout sérieux."
Les fesses bien frappées: la plupart des coups placés sur le chair entre l’os pelvien et les hautes cuisses et les autres sur les hautes cuisses, qui sont très tendres
Il a gardé précieusement l'aspect rituel, en la frappant formellement et précisément. Pendant une punition le couple deviennent trois: parce que le 'cane' et lui sont comme deux êtres individus. Encore rituellement, il insiste qu'elle commence de se déshabiller en l'humiliant; mais réserve à lui le droit d'enlever les derniers sous-vêtements intimes, qu'il fait avec les caresses. Gentiment, il met son collier d'esclavage auquel il attache ses mains derrière le dos et la fait se pencher sur le chevalet. Pas besoin de bondage pour le moment: puisque le 'cane' peut être douloureux et choquant il va commencer en chauffant les fesses avec les bons coups de main et quelque chose qui rougit
- un 'paddle' ou une raquette de ping-pong lourd. Après sa copine tiendra plus longtemps.
Quoique l'instrument n'est pas sévère il frappe rapidement pour lui faire bouger les fesses et pousser des petit cris. Après une centaine ou deux les fesses sont prêt à recevoir le 'cane'. Il stresse sa copine en l'interdisant de bouger et crier sous peine d'une punition spéciale avec le 'cane', puis s'applique de nouveau pour la faire désobéir.
Elle essaye de tenir parce qu'elle a quelque chose à craindre. Elle sait que le 'cane' dans sa main est impitoyable, magistrale, d'une sévérité objective. Elle n'a jamais reçu une punition qui n'était pas au moins un peu trop pour elle: son copain est gentil, mais son 'cane' crée une logique de punition qu'il
maîtrise tous les deux, et pousse toujours aux frontières. Comme les coups de raquette tombent, le couple sont en complicité pour faire durer sa résistance à elle, lui pour ajouter à ses souffrances, elle pour les diminuer. Mais le 'cane' est inévitable: naturellement elle craque. Les préliminaires sont fini. Il le signale en jetant le 'cane' sur le tapis. Elle sera obligée de se mettre à genoux, ses mains encore liés, prendre le 'cane' dans sa bouche et l'offrir à son maître comme une chienne. Mais il le jette encore devant elle et la laisse seule pour le regarder quelques temps. En rentrant il accepte le 'cane' encore offert, et regarde sa copine se lever péniblement avec ses mains liés. Il la fait se pencher de nouveau et relâche les mains pour les ligoter au chevalet, puis les chevilles. Quoique la position classique est avec les cuisses serrées, le Major se permet de la punir jambes bien écartées: elle est sur les pointes des pieds pour être plus impuissante, mais tout son poids reste sur le chevalet: il est très soigneux pour son confort pour ne pas détourner son attention de la punition. Maintenant c'est essentiel qu'elle soit ligoté: elle sera incapable de supporter le 'cane' sans bouger et c'est très important qu'il ne la frappe que sur le chair des fesses. Il choisit son 'cane' et passe toute sa longueur entre ses lèvres. Il le fait siffler plusieurs fois dans l'air.
Dans ce jeu de contrôle imaginatif, c'est à la fin elle qui décide. La capacité de son corps de supporter la douleur reste une limite qu'il peut pousser, mais pas totalement dépasser. Il gère la punition par le choix du 'cane', par la force, rythme et groupement des coups. (Il ne diminue jamais la quantité parce que ça diminue également l'importance de la séance - et il a besoin de durée pour bien conditionner sa copine.) Normalement 20 ou 30 secondes séparent ses coups et il donne une pause d'une minute ou deux après chaque groupe d'une dizaine. Changer ce groupement (entre 5 et 25) et frapper plus ou moins vite, fort, avec un 'cane' plus ou moins longue et lourd lui donne, tout les paramètres de contrôle qu'il lui faut. Par exemple, il sait que s'il attend une minute entre chaque coup elle aura assez de temps de se préparer de recevoir un coup très sévère. Il va utiliser cette technique maintenant pour les 25 coups de la punition spéciale qu'il a promis. Il aime souvent commencer avec quelque chose de cruelle pour faire peur. Chaque fois il descend le 'cane' sa copine se tord dans un réflexe de souffrance et une nouvelle marque - deux lignes rouges - apparaît sur les fesses. Seulement le rythme lent et le choix d'un 'cane' pas lourd fait possible la force qu'il utilise: et s'il ne l'avait pas bien connu, il n'oserait pas. Quand ils avaient commencé ensembles, il s'est limité de frapper avec l'avant-bras: puis tout le bras: éventuellement le bras avec l'épaule qu'il utilise maintenant.
Plusieurs fois elle demande pitié: elle sait qu'il va seulement l'engueuler et insister de la frapper plus fort, mais elle ne peut pas s'empêcher. Ces 25 coups sont l'équivalent à 100 ordinaires: ce n'est pas facile d'être la copine du Major et elle a besoin du repos qu'il lui autorise après. Même si les coups a venir seront moins sévères, ils seront plus rapides - et le Major va certainement donner un minimum de 200 encore. C'est vers 300 coups que les fesses deviendront engourdis et avec la préparation qu'il a fait elle sera bientôt capable de supporter un fin de punition qui durera (avec pauses) au moins une heure. Ce qu'elle craigne est qu'il va la rattaquer avec un 'cane' plus lourd ou commencer de la frapper 25 sans pause: en ce cas il va falloir mettre le baîllon. Chaque fois elle souffre, elle se demande pourquoi elle le subit: mais la vérité est que l'habitude a créé un besoin profond qu'elle devra satisfaire toujours. Elle comprends que Major Thompson est en train d'essayer d'amener le 'cane' dans leur vie de tous les jours. Il a déjà promis que le moment quand elle fera une bêtise importante (elle n'est pas très forte pour conduire et a endommagé la voiture plusieurs fois déjà), elle sera puni 'au vrai'. Elle n'a rien dit contre, même en comprenant que ça risque de lui faire connaître une augmentation de punition importante. Elle a moitié envie de progresser, de savoir comment il sera, d'être frappé pleine force. Le conditionnement a bien marché: elle est perdue, et pas malheureuse.
L'EDUCATION FRANCAISE
Qu'est ce que l'éducation anglaise peut apporter aux français et françaises? Chaque nation a les punitions qu'elle mérite: et la France mérite certainement mieux que les coups qui vont n'importe ou, les dominateurs qui ne comprennent pas ou la dureté ou la pitié, et les habitudes de punition égoïstes. La tradition sm française - en dérivation du Marquis lui-même - est tout fantasme et fureur, en demandant souvent les choses qui sont carrément impossibles pour les êtres de chair et d'os. Par contraste, l'éducation anglaise est modeste, raffinée et pratique avec une symbolisme assez satisfaisante. (Et vraiment sérieux - je défierai personne de faire plus de mal avec la cravache qu'avec le 'reformatory cane'.)
Les leçons de l'éducation anglaise sont de penser et préparer avant de donner les coups, d'être intelligent et proche dans la relation maître-esclave, de bien gérer pour mieux frapper. Les principes pratiques pour tout le sm - heureusement, beaucoup des français les connaissent déjà. Vous voyez que je suis très enthousiaste: mais voila, moi, je suis anglais.
FIN
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